Au moment où je rédige cet article, il est bientôt temps de dire au revoir à l’année 2021.
Comme l’année dernière, même si j’ai moins lu, je me suis dis qu’il serait intéressant de faire une rétrospective des romans découverts en cette année.
Comme l’année dernière, je n’ai pas vraiment d’ordre de préférence, je prends juste l’ordre dont je m’en suis souvenue.
Pour le premier, il s’agit de « La Péninsule aux 24 Saisons »
• Le voyage : Je me suis vraiment sentie partir en escapade dans cette péninsule et me suis sentie ressourcée à travers cette lecture.
• Le rapprochement à la nature : Le récit met en avant les différentes saisons de l’ancien calendrier des saisons japonais. On y met en avant les fruits et légumes de saison ainsi que les différentes fleurs.
• Le rapprochement à la nature : Le récit met en avant les différentes saisons de l’ancien calendrier des saisons japonais. On y met en avant les fruits et légumes de saison ainsi que les différentes fleurs.
Pour le second roman, on retrouve bien sûr Ogawa Ito, avec « La papeterie Tsubaki ».
• La relation familiale : Comme dans beaucoup de ses romans, la relation familiale est difficile et on dénoue petit à petit, en même temps que le personnage principal, ce nœud de douleur que referme ce dernier
• Le message : Le personnage principal, Hatoko, nous pousse à chercher notre paix intérieure et a renouer avec le plaisir du présent.
• Le message : Le personnage principal, Hatoko, nous pousse à chercher notre paix intérieure et a renouer avec le plaisir du présent.
Pour le suivant, il s’agit de « La chasse dans les collines »
• Les différentes histoires : La découverte de différentes vies, ou plutôt bout de vies, la façon de vivre et de ressentir ce que les personnages vivent.
• La facilité avec laquelle on rentre dans l’histoire : Pas besoin de beaucoup de lignes pour nous impliquer dans les différentes histoires. En quelques mots, alors qu’on vient de finir un bout de vie, on se retrouve sans difficulté dans le suivant.
• La facilité avec laquelle on rentre dans l’histoire : Pas besoin de beaucoup de lignes pour nous impliquer dans les différentes histoires. En quelques mots, alors qu’on vient de finir un bout de vie, on se retrouve sans difficulté dans le suivant.